Culture & universalisme prépare un texte sur la répression de la liberté artistique en Hongrie (censure, antisémitisme, homophobie à l’encontre des artistes, au premier plan).
Merci de nous faire remonter informations et témoignages pour compléter notre état des lieux.
Culture et universalisme condamne avec colère et détermination la tuerie raciste qui a frappé le Centre culturel kurde.
Le choc des civilisations, le « Grand remplacement », le racialisme et tous les identitarismes sont des ferments de barbarie contre laquelle les seules valeurs universalistes constituent un remède et un rempart. Ce combat est aussi celui de tous ceux qui défendent la rencontre des cultures.
Le secteur public de la culture française est depuis quelques années (affaire Kanata, 2019) agité par des convulsions dont la violence souvent haineuse ne cesse de croître. Leur sordide bénéfice est de laisser entrevoir de manière de plus en plus nette la reformulation des mécanismes de la censure.
L’Arlésienne de Bizet, d’après la nouvelle d’Alphonse Daudet, constitue un précédent dans l’histoire des cabales pour « appropriation culturelle ». On reprocha au compositeur d’avoir « volé » des airs provençaux à des fins parisianistes.
Saisir avec clarté ces nouvelles mécaniques exige de commencer par restituer le cadre institutionnel dans lequel les pressions et les démissions se développent et s’accélèrent, en relevant un paradoxe:
d’un côté, un secteur public culturel, expression de l’exception culturelle française, assez hégémonique par rapport au privé, et un contexte général marqué par l’interventionnisme de l’Etat et surtout – nouveaux acteurs majeurs de la commande et de la définition des politiques culturelles – des collectivités. Cet ancrage inédit voudrait donc que la liberté artistique n’ait jamais été aussi bien défendue,puisque l’exception culturelle se prévaut en effet de garantir une offre qualitative en résistant aux pressions du secteur privé : pressions mercantiles, mais aussi – on l’oublie trop souvent – pressions idéologiques.
de l’autre côté, le retrait et la déresponsabilisation progressive de cet état culturel à mesure qu’il bourgeonne : en effet, jamais les politiques culturelles n’ont été aussi « invisibles » et inaudibles, tant s’y est substitué un management déshumanisé, comptable, faisant prévaloir des critères sans âme de visibilité ou de visibilisation qui non seulement concurrencent les arbitrages réellement artistiques, mais ont fini par s’y substituer, dans bien des cas. Ce retrait entremêle différentes causalités: l’entropie bureaucratique, la dilution des responsabilités publiques, la cooptation (ou pour le dire plus efficacement, le copinage), l’efficacité des intimidations à l’accusation de censure déshabillant les responsables de leur liberté décisionnaire et de leur responsabilité. Ces rouages transforment insidieusement les acteurs culturels publics en censeurs a priori. Le responsable culturel préfère désormais censurer a priori (par le truchement de cahiers des charges et d’objectifs de plus en plus huxléiens) plutôt que de se voir a postériori attaqué et accusé de censurer les « identités » radicales et militantes. Une telle autocensure des responsables publics, guidée par un désir de paraître (« signalement vertueux ») incompatible avec toute mission d’intérêt général, se retourne alors en censure contre les artistes.
Une fois que le cadre est posé, on peut donc distinguer deux types de censure:
une censure offensive, qui s’exerce à travers des groupes de pressions extrêmement organisés, notamment sur les réseaux sociaux, et désormais en partie infiltrés dans l’establishment. Cette méthode est « traditionnelle », elle remonte au temps des cabales et de la claque; l’activisme identitaire en bande organisée s’est simplement substitué aux anciens « groupes d’intérêt ». Elle recourt à la violence, à l’anathème et au rapport de force; elle vise la destruction des artistes ciblés et l’élimination pure et simple de la concurrence, par la violence. Cet illibéralisme se développe dans un contexte économiquement libéral (prédominance du secteur privé), par définition dépourvu de protection. Dans cette configuration, l’Etat exerce une censure en se comportant certes de manière verticale, mais il agit comme n’importe quel acteur privé: pour défendre son intérêt, son électorat, son idéologie, en lieu et place de l’intérêt général. Ou en cédant au plus fort.
une censure « défensive » qui résulte de la peur d’être qualifié de censeur, et dans un premier temps de l’intériorisation, dans un second de la normativisation, du discours des vrais censeurs « offensifs ». Les déprogrammations se multiplient et sont désormais le fait des responsables publics eux-mêmes. Mais dans la plupart des cas, cette autocensure ne se manifeste pas à cette étape – dont l’avantage consiste à la rendre visible pour l’opinion – mais survient en amont, rendant dès lors impossible le développement de propositions artistiques originales et libres, extérieures à toute logique de validation. Les artistes ne répondant à aucun de ces critères marketing et identitaires, critères absolument étrangers au langage de leur art, sont tous simplement raturés avant même de pouvoir demander une quelconque « visibilisation ». Ce second illibéralisme se développe dans un contexte quant à lui interventionniste.
La double censure bénéficie donc des méthodes historiques de la censure qui opère dans un paysage essentiellement privé. Mais elle se voit aussi amplifiée par l’inertie bureaucratique culturelle – dans un contexte quant à lui interventionniste, mais dans lequel l’Etat se comporte comme un acteur privé, soucieux d’abord de son intérêt. Une telle mise au carré trouve enfin dans la viralité des réseaux sociaux un autre outil de démultiplication. La double censure exerce un effet de tenaille de plus en plus étouffant et destructeur sur la jeune création; elle ne privilégie que l’arrivisme, le clientélisme et l’absence intégrale d’imagination.
De plus en plus de dossiers de demande de subvention auprès des tutelles culturelles conditionnent leurs demandes à des quotas explicites de « race » et d’orientation sexuelle/de déclaration de genre, qui passent désormais AVANT le projet artistique, et le conditionnent.
Culture & universalisme est en train de récolter ces données. La plupart de ces normes sont anticonstitutionnelles. Et crapuleuses, car bien souvent elles ne visent qu’à favoriser des copinages.
Nous militons pour des solutions universalistes et intelligentes à la diversité. Elles existent, mais se heurtent à la paresse intellectuelle et bureaucratique, et au clientélisme qui tuent la création.
Soucieux de défendre la liberté artistique et le débat intellectuel seul à même de faire vivre une telle liberté, le réseau Culture et universalisme apporte son soutien à la chercheuse Nathalie Heinich, victime de pressions réitérées.
Nous condamnons les violences et les appels à la censure qui ont visé sa conférence du 26 novembre 2022 à l’Espace Mendès France de Poitiers.
Le remplacement du débat contradictoire par la violence et l’intimidation sont intolérables. Ils trahissent les principes progressistes dont se réclament certains activistes, qui se font en réalité le bras de l’obscurantisme le plus régressif.
Nous assistons depuis quelques années, en France, à une dangereuse dégradation du débat public, entre autres sur des thématiques relevant des domaines de compétences du conseil
scientifique de la Dilcrah. Violences symboliques, souvent accompagnées de violences physiques, ne cessent de se répéter entrainant dans le même mouvement un rétrécissement
significatif des espaces d’échanges et de controverses nécessaires à l’intérêt général. Les situations dans lesquelles les conditions d’un débat démocratique ont été délibérément
empêchées sont de plus en plus fréquentes. Des membres du conseil scientifique de la Dilcrah, eux-mêmes, ont pu être empêchés d’intervenir ou encore piégés par des soi-disant enquêtes journalistiques.
Nous, membres du conseil scientifique de la Dilcrah, condamnons fermement toute entrave à la liberté d’expression et de réunion, d’où qu’elle vienne. En aucun cas une conviction
ou un argument ne doit s’imposer par l’intimidation ou la menace. Dès lors qu’aucun trouble à l’ordre public n’est commis ou, a fortiori, que les propos tenus ne constituent pas un délit, il
n’y aucune raison d’interdire une prise de parole publique ou l’expression d’une position. C’est la condition première pour qu’une société démocratique digne de ce nom puisse exister.
La liberté d’opinion et l’égalité des droits sont des principes fondamentaux qui doivent impérativement être respectés. C’est cette conception du débat public que le conseil scientifique
de la Dilcrah défend ; d’abord en son sein, mais aussi dans les groupes de travail mis en place à son initiative, qui auditionnent avec méthode et respect du pluralisme des acteurs individuels et collectifs sur les questions qui intéressent les membres du CS.
La libre expression de la contradiction est au fondement du débat démocratique et doit en demeurer la condition absolue. L’anathème ou l’excommunication ne sauraient s’y
L’émission de Marc Weitzman revient cette semaine sur la polémique autour des Amandiers réalisé par Valeria Bruni-Tedeschi, pour prendre de la hauteur: conflit générationnel, confusion entre morale et moralisme, fiction et documentaire.
Avec Marc Citti, Michel Guerrin et Coraly Zahonero.
Depuis la mort en détention de Mahsa Amini, une jeune femme de 22 ans arrêtée par la police des mœurs, le 13 septembre 2022, un mouvement de révolte secoue la société iranienne et conteste le régime de la République islamique d’Iran, son contrôle de la société par la censure et la violence, son oppression des femmes permise par les lois discriminatoires.
A l’unisson d’un peuple avide de se libérer du joug des mollahs, les cinéastes, les artistes et plus largement les femmes et les hommes de culture en Iran subissent intimidations, censures, arrestations et emprisonnements arbitraires. Le cinéaste Mohammad Rasoulof, dont le film Le diable n’existe pas était projeté en avant-première à Vitré en juin 2021, a été arrêté, le 8 juillet 2022, en même temps que son collègue Mostafa Aleahmad.
Venu s’informer sur leur situation, le réalisateur Jafar Panahi a, à son tour, été incarcéré dans la terrible prison d’Evin, théâtre d’affrontements et d’émeutes meurtrières, ce 15 octobre. L’universitaire Fariba Adelkhah, autrice du poème Le Silence, écrit en détention, lu à la Maison des cultures du monde en novembre 2021, a été arrêtée en juin 2019.
Une opposition des femmes depuis 1979
Certains films montrés au festival Nouvelles Images persanes à Vitré ont été réalisés par des cinéastes aujourd’hui arrêtés ou dans l’impossibilité de tourner de nouveau en Iran. Nourri de poésie et animé d’un constant esprit de résistance, le cinéma iranien, espace d’expression et de contre-pouvoir, est menacé par la répression d’un régime théocratique s’attaquant à toutes les sphères de la société. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés En Iran, les cinéastes Jafar Panahi, Mohammad Rasoulof et Mostafa Al-Ahmad de nouveau emprisonnés
La projection récente de Persepolis lors de la saison La Perse fait son automne à Vitré résonne avec cette brûlante actualité. Marjane Satrapi, exilée, nous rappelle que le combat des femmes iraniennes d’aujourd’hui s’inscrit dans une longue lutte amorcée aux lendemains de la révolution islamique. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés « L’Echiquier du vent » : une œuvre ressuscitée du cinéma iranien
Dès mars 1979, la première grande manifestation en Iran après la révolution de février fut la marche des femmes contre le port obligatoire du voile. Bien des soulèvements suivirent, comme autant de symptômes d’une société éprise de modernité et de liberté : notamment en 1999 (les manifestations étudiantes contre la fermeture du journal réformateur Salam), en 2009 (le « mouvement vert » contre la réélection contestée du président sortant, Mahmoud Ahmadinejad), en 2017-2018 (contre la vie chère), en 2019 (contre la hausse des prix du carburant).
Libérer le peuple iranien du joug d’un régime aux abois
Contestée par la jeunesse et notamment les jeunes femmes réunies sous le slogan « Femme, vie, liberté », la République islamique d’Iran se révèle, en ces jours sombres, un régime autoritaire extrêmement barbare soucieux de conserver avec une sanglante brutalité le contrôle de la jeunesse, de la population, de l’Etat et de l’économie. Cette révolte des jeunes iraniennes traduit une aspiration à un changement de régime. Archive : Article réservé à nos abonnés Le cinéaste iranien Mohammad Rasoulof : « Je suis boycotté »
En créant, en 2019, le festival Nouvelles Images d’Iran (devenu Nouvelles Images persanes, en 2021) grâce au soutien de nombreuses instances nationales, régionales, départementales et locales, le temps était déjà venu de tendre la main au peuple et aux créateurs qui faisaient montre de courage et d’un esprit de résistance – désormais au grand jour de l’actualité mondiale.
Signataires
Rachid Akbal, metteur en scène, acteur, directeur artistique du festival Rumeurs urbaines Alliance des femmes pour la démocratie Dorothy Aubert, éditrice Samuel Aubin, auteur Yavuz Aykan, Historien, université Paris 1 Yaël Bacry, metteuse en scène Jean-Christophe Bailly, écrivain Calypso Baquet, actrice, photographe Isabelle Barbéris, universitaire Patricia Bardon, cinéaste Erwan Baslé, maçon Fabrice Bassemon, directeur artistique du Festival Travelling de Rennes Philippe Beck, poète, maître de conférences en philosophie Abraham Bengio, président de la commission Culture de la LICRA Thomas Berthe, adjoint au maire de Guingamp en charge de la culture Stéphane Bigot, professeur Olivier Bitoun, directeur de Cinéphare Charles Berling, acteur François-Simon Biton, coordinateur de CinéMA35 Sylvina Boissonnas, architecte Marie-Christine Bonneau, cadre de l’Education nationale Joëlle Bordet, Chercheuse psychosociologue, membre du jury international du Festival Nouvelles Images Persanes 2021 Aldric Bostffocher, directeur de cinéma Anne-Sophie Boulan, attachée de presse Perrine Boutin, maître de conférences, université Sorbonne Nouvelle Odile Bouvet, présidente du comité de jumelage de Vitré Nathalie de Broc, écrivaine Béatrice Bruneau, professeure Frédérique Caldy, professeure Laurent Cambon, président de l’association des rédacteurs culturels (A Voir à lire) Fannie Campagna, coordinatrice de Zoom Bretagne – Cinephare. Belinda Cannone, écrivain John Carroll, scénographe, éclairagiste Patrice Caurier, metteur en scène Olivier Charneux, écrivain Laurent Chollet, écrivain, réalisateur Mickaël Christien, administrateur de Clair Obscur David Christoffel, auteur sonore Catherine Clément, philosophe Thomas Clerc, écrivain Caroline Cogné, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Michèle Collery, documentariste Costa-Gavras, cinéaste Serge Coste, psychanalyste, enseignant Gérard Crespo, rédacteur cinéma à A Voir à lire Jean-Louis Cros, cinéaste Culture et universalisme, groupe d’artistes et d’acteurs culturels défendant la liberté artistique Forough Dadkhah, vice-présidente à la Région Bretagne Leyla Dakhli, historienne Hannah Darabi, photographe Olivier Dhénin Hữu, metteur en scène
Simon Delattre, directeur de la Nef – Pantin, metteur en scène Myriam Desvergnes, citoyenne, critique sur A Voir à lire Clément Devaux, illustrateur BD Agnès Devictor, universitaire, présidente du jury international du Festival Nouvelles Images Persanes de Vitré Javad Djavahery, romancier Michel Didier, membre du jury international du Festival Nouvelles Images Persanes 2021 Eric Doinel, administrateur du Festival de Cinéma de Douarnenez Jean-Philippe Domecq, écrivain Bastien Dubois, réalisateur de films d’animation Jean-Pascal Dubosc, sapeur-pompieur professionnel Frédéric Durieux, Compositeur & Professeur au Conservatoire de Paris Jean-Max Dussert, clarinettiste Editions des Femmes – Antoinette Fouque Gwenvaël Engel, photographe Philippe Falusi, enseignant et musicien libre Sepideh Farsi, cinéaste Jeanne Favret-Saada, anthropologue Ami Flammer, violoniste, professeur au Conservatoire national Supérieur de Musique et de Danse de Paris Hélène Fleckinger, historienne du cinéma Patrick Fretel, président du cinéma Arvor de Rennes François Frimat, professeur de philosophie, président fondateur du festival Latitudes contemporaines Jean-Michel Frodon, critique de cinéma Jérémy Gallet, rédacteur en chef “Culture +” sur A Voir à lire Christophe Garnier, directeur du cinéma Le Club à Fougères Laurent Garreau, fondateur du Festival Nouvelles Images Persanes Michèle Gautard, écrivain Fred Gélard, Directeur de Trégor Cinéma Aline Girard, conservatrice générale des bibliothèques Véronique Godec, Secrétaire de Clair Obscur Marc Goldschmidt, philosophe Stéphane Goudet, directeur artistique du Melies de Montreuil, maître de conférences, Université Paris 1 Florent Gouëlou, réalisateur, acteur Gérald Grunberg, ancien DRAC, VP du comité français du programme de l’UNESCO Mémoire du monde Antoine Guillot, auteur, metteur en scène Anne-Marie Guinard, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Baptiste Guiton, réalisateur de fictions sonores et metteur en scène Nedim Gürsel, écrivain Catherine Guyot, journaliste, du MLF-Psychanalyse et Politique
Marc Hajjar, chef d’orchestre Michel Hafiz, scénariste et administrateur de Garromedia Boris Henry, docteur en Lettres et Arts, formateur d’enseignants Noël Herpe, écrivain et cinéaste Xavier Herveau, directeur du cinéma Les Korrigans Christine Heude, administratrice de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Léopoldine HH, artiste de musique Bernard Hommerie, éditeur Collectif Iskra (Image, Son, Kinescope et Réalisations Audiovisuelles) Christian Ivaldi, pianiste Yveline Jacob, professeure Chérif Kashanadar, poète et président de la Maison des Cultures du Monde Pascal Keiser, commissaire Général, Bourges Centre Val de Loire, Capitale européenne de la Culture 2028 Hormuz Kéy, écrivain et cinéaste Guy Konopnicki, écrivain et journaliste Pascal Laborderie, universitaire
Dominique Lahary, bibliothécaire Emmanuel Laot, professeur agrégé en histoire géographie Yann Lagain, trésorier adjoint de Clair Obscur Sonia Lamarche Fraleux, bénévole cinéma associatif Le Stella, Janzé (35) Jack Lang, président de l’Institut du Monde Arabe, ancien Ministre de la Culture Stéphane Latruffe, président du club de judo de Guingamp Camille Laurens, écrivaine Valérie Lavoix, universitaire Soazig Le Bail, présidente de Clair Obscur Jean-Michel Le Boulanger, président d’Étonnants voyageurs à Saint-Malo Yves Lecompte, président de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Dominique Lecompte-Gérard, administratrice de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Moshe Leiser, metteur en scène Yvon Le Men, poète prix Goncourt 2019 Armelle Le Nabasque, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Christine Le Nabour, députée de la 5è circonscription d’Ille-et-Vilaine (Vitré) Eloïse Le Priol, chargée d’administratif et de développement au Trégor Cinéma Sylvie Le Quéau, secrétaire de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Sylvie Le Quéré, artiste-chorégraphe Annick Le Rol, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Riton Liebman, comédien, auteur, réalisateur Hervé Lelardoux, metteur en scène Christine Leriche, attachée de presse Riton Liebman, comédien, auteur, réalisateur Kevin Lognoné, auteur du livre blanc « Kish : nouveau tigre du Moyen-Orient ? » Christophe Loizillon, cinéaste Pierre Lory, ancien directeur des services généraux de Vitré Communauté Vincent Lowy, Directeur de l’ENS Louis-Lumière Maryam Madjidi, écrivain Vajiollah Mahabadi, administrateur de Garromedia, consultant Denez Marchand, Vice-président en charge de la culture et de la promotion des langues de Bretagne au Conseil départemental d’Ille et Vilaine Claudio Marchi, critique de cinéma pour A Voir à lire Anna Marcuzzi, Conservateur en chef des bibliothèques Philippe et Françoise Marseille, Enseignants en retraite François Marthouret, acteur, metteur en scène, réalisateur Jean-Louis Martinelli, metteur en scène Jean-Yves Masson, professeur de littérature, écrivain, éditeur Pierre Méhaignerie, ancien Maire de Vitré, Président d’honneur de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Christine Menzaghi, militante de l’éducation populaire Marie-Madeleine Mervant-Roux, directrice de recherche émérite, CNRS Daniel Mesguich, acteur, metteur en scène, professeur de théâtre Stéphane Mevel, trésorier de Clair Obscur Rozenn Milin, historienne et journaliste MLF – Psychanalyse et politique Florian Moine, rédacteur en chef BD sur A Voir à lire Jean-Marc Mojica, avocat Marlene Moquet, professeure Tabatha Morin, ingénieure pédagogique Laetitia Morvan, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Déborah Münzer, VP Culture, département Val-de-Marne Catherine Nancey, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez David Neau, auteur et dessinateur Franck Neveu, professeur à Sorbonne université Elisabeth Nicoli, avocate, Co-Présidente de l’Alliance des femmes pour la Démocratie Sophie Nordman, philosophe Xavier North, inspecteur général honoraire des Affaires culturelles Alma Oskouei, artiste plasticienne Jamila Ouzahir, directrice artistique de festivals, attachée de presse Éva Peña, administratrice de Clair Obscur Nicolas Perrigault, graphiste Christophe Perton, metteur en scène Nicolas Philibert, cinéaste Béatrice Picon-Vallin, directrice de recherche émérite, CNRS Mathilde Pillot, professeur des écoles Mazarine Pingeot, écrivaine Nicole Pirou, bénévole cinéma associatif Le Stella, Janzé (35) Giusy Pisano, universitaire, ENS Louis-Lumière Alain Policar, politologue Katalin Pór, historienne du cinéma Mathieu Potte-Bonneville, directeur du département culture et création, Centre Pompidou Stéphanie Pourquier, enseignant chercheur au CNAM Bamchade Pourvali, enseignant, auteur Solange Reboul, codirectrice du centre d’art Gwinzegal Robin Renucci, acteur Bruno Ricard, professeur à l’école de la nature et des paysages de Blois Sylvie Robert, sénatrice d’Ille et Vilaine Rodolphe Rohart, administrateur du Festival de Cinéma de Douarnenez Gilles Roland, Président Fondateur Active’Invest Aurélie Rousseau, directrice générale de TV Rennes Blaise Royer, Secrétaire général de Garromedia Marie Rozé, administratrice de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Christian Ryo, directeur du Festival de Cinéma de Douarnenez Sepas Sadrenoori, compositeur et pianiste Jean-Pierre Sakoun, éditeur numérique Yves Sintomer, Professeur de science politique à l’Université de Paris 8, chercheur associé au Nuffield College, Oxford Thierry Salvert, administrateur du Festival de Cinéma de Douarnenez Jean-Louis Sanchez, délégué général de l’ODAS Manuel Sanchez, président des Rimbaud du cinéma Marjane Satrapi, auteur et cinéaste Sébastien Sauvêtre, graphiste Stephan Shayevitz, artiste plasticien Benjamin Sire, compositeur et journaliste Vincent Soccodato, consultant Alexandre Sorel, pianiste Valérie Soria, professeur de philosophie Jérôme Sother, Co-directeur du Centre d’art GwinZegal, Guingamp Jérôme Soubeyrand, acteur-scénariste-réalisateur Allan Stivell, auteur-compositeur musicien Yann-Kael Tanniou, administrateur du Festival de Cinéma de Douarnenez Mehran Tamadon, cinéaste Véronique Taquin, écrivain Cédric Taurisson, directeur de la Maison des Cultures du Monde Yvan Tellier, membre du Conseil d’Administration des Amitiés Kurdes de Bretagne Hubert Thieurmel, administrateur du Festival de Cinéma de Douarnenez Ludovic Thoraval, programmateur de l’association Melrose / la Grande Ourse Patricia Travers, administratrice de Vitré : Images d’Iran, cultures persanes Gilberte Tsaï, metteure en scène Nasim Vahabi, écrivaine Jean-Claude Van Dam, ancien Directeur Régional des Affaires Culturelles du Centre Joële Van Efenterre, administratrice du Festival de Cinéma de Douarnenez Philippe Verbert, Président d’honneur des Conseillers du Commerce Extérieur du Comité Champagne-Ardenne Luc Vigier, Maître de Conférences à l’Université de Poitiers Christine Villeneuve, éditrice, Co-directrice des éditions des femmes-Antoinette Fouque Coraly Zahonero, comédienne, sociétaire de la Comédie-Française